Vous avez raison ...
Défendons la langue française
Je cherchait .. vous voulez dire je cherchais ?
a ... vous voulez dire à ?
ce topic ... vous voulez dire ce sujet ?
tout a fait ... vous voulez dire exactement ?
avoir changer ... vous voulez dire avoir changé ?
un.e ami.e ... vous voulez dire un·e ami·e ? (avec un point médian)
réponses claire ... vous voulez dire réponses claires ?
Je constate que vous êtes modéré et que vous suggérez le retour à un(e) ami(e) ... on n'ignore pas les femmes, on les met simplement entre parenthèses.
Plus sérieusement, que trouvez-vous de 'déguelasse' dans le texte de bouton ?
Vous avez raison ...
Défendons la langue française
Je cherchait .. vous voulez dire je cherchais ?
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un.e ami.e ... vous voulez dire un·e ami·e ? (avec un point médian)
réponses claire ... vous voulez dire réponses claires ?
Je constate que vous êtes modéré et que vous suggérez le retour à un(e) ami(e) ... on n'ignore pas les femmes, on les met simplement entre parenthèses.
Plus sérieusement, que trouvez-vous de 'déguelasse' dans le texte de bouton ?
Laissez George Orwell en paix, bordel... Il doit tellement se retourner dans sa tombe qu'on pourrait résoudre l'entièreté des crises énergétiques en lui collant un transformateur...
La novlangue était un appauvrissement de la langue pour restreindre le champ de ce qui pouvait être communiqué afin de donner plus de contrôle sur la population à un État fasciste, à savoir l'exact opposé de ce que l'écriture inclusive est: un enrichissement de la langue pour pouvoir exprimer plus précisément nos pensées, à savoir l'inclusion de tous les genres, et non pas un masculin "par défaut" qui invisibilise les femmes...
Rappelons par exemple que la loi allemande avait pour habitude d'être écrite avec un masculin par défaut, et les droits des femmes en ont pâti car la loi a ensuite été interprétée comme utilisant un masculin absolu... "un docteur"? Eh bah ça veut dire que les femmes n'ont pas le droit d'avoir accès à cette profession, n'est-ce pas? Sans parler de l'effet que ça a sur le subconscient des lecteur·ice·s, qui vont souvent se représenter un homme quand iels lisent "les directeurs", tandis que "les directeur·ice·s" laisse plus de place aux femmes dans le subconscient.
Donc l'écriture inclusive, c'est important. Ensuite, comment l'implémenter? On a basiquement 3 méthodes:
"un étudiant ou une étudiante": Trop long à écrire, trop long à lire, y a que les administrations qui l'utilisent
"un(e) étudiant(e)": C'est passable, mais les parenthèses alourdissent le texte, et il reste un biais: les femmes sont entre parenthèses, elle ne sont qu'éventuellement considérées
"un·e étudiant·e": C'est basiquement la meilleure. Plus simple à lire, y a qu'un point en plus, et le biais est absent, femmes et hommes sont au même niveau
C'est pas de la novlangue, c'est juste une évolution naturelle de la langue qui permet une plus grande précision sur le sens qu'on donne aux mots...
Quand au "français" que vous défendez, c'est celui qui est décrété par 40 vieux·eille·s sans aucune qualification linguistique qui s'élisent à vie entre eux, qui vivent aux dépends de l'État et qui veulent ensuite décider pour nous comment nous avons le droit ou non de parler?
Après, vous avez tout à fait le droit de continuer à utiliser le masculin par défaut, personne ne vous en voudra! Arrêtez simplement de vous outrer pour quelque chose d'aussi futile qu'un point médian, mais qui fait du bien à de nombreuses personnes... C'est ridicule, vous valez sans doute mieux que ça
Laissez George Orwell en paix, bordel... Il doit tellement se retourner dans sa tombe qu'on pourrait résoudre l'entièreté des crises énergétiques en lui collant un transformateur...
La novlangue était un appauvrissement de la langue pour restreindre le champ de ce qui pouvait être communiqué afin de donner plus de contrôle sur la population à un État fasciste, à savoir l'exact opposé de ce que l'écriture inclusive est: un enrichissement de la langue pour pouvoir exprimer plus précisément nos pensées, à savoir l'inclusion de tous les genres, et non pas un masculin "par défaut" qui invisibilise les femmes...
Rappelons par exemple que la loi allemande avait pour habitude d'être écrite avec un masculin par défaut, et les droits des femmes en ont pâti car la loi a ensuite été interprétée comme utilisant un masculin absolu... "un docteur"? Eh bah ça veut dire que les femmes n'ont pas le droit d'avoir accès à cette profession, n'est-ce pas? Sans parler de l'effet que ça a sur le subconscient des lecteur·ice·s, qui vont souvent se représenter un homme quand iels lisent "les directeurs", tandis que "les directeur·ice·s" laisse plus de place aux femmes dans le subconscient.
Donc l'écriture inclusive, c'est important. Ensuite, comment l'implémenter? On a basiquement 3 méthodes:
"un étudiant ou une étudiante": Trop long à écrire, trop long à lire, y a que les administrations qui l'utilisent
"un(e) étudiant(e)": C'est passable, mais les parenthèses alourdissent le texte, et il reste un biais: les femmes sont entre parenthèses, elle ne sont qu'éventuellement considérées
"un·e étudiant·e": C'est basiquement la meilleure. Plus simple à lire, y a qu'un point en plus, et le biais est absent, femmes et hommes sont au même niveau
C'est pas de la novlangue, c'est juste une évolution naturelle de la langue qui permet une plus grande précision sur le sens qu'on donne aux mots...
Quand au "français" que vous défendez, c'est celui qui est décrété par 40 vieux·eille·s sans aucune qualification linguistique qui s'élisent à vie entre eux, qui vivent aux dépends de l'État et qui veulent ensuite décider pour nous comment nous avons le droit ou non de parler?
Après, vous avez tout à fait le droit de continuer à utiliser le masculin par défaut, personne ne vous en voudra! Arrêtez simplement de vous outrer pour quelque chose d'aussi futile qu'un point médian, mais qui fait du bien à de nombreuses personnes... C'est ridicule, vous valez sans doute mieux que ça