
bureau e-media, Eutopia
Page virtuelle de Maxima Makina
Une incursion dans le monde sulfureux des "automates" joueurs, ou joueuses, d'échecs, robots, androïdes and Co ."Il était une fois, Maxima Makina, chapitre un".
Tel est le titre que j'aurais pu donner au premier chapitre de mon récit, la vraie et fabuleuse histoire d'une androïde nouvelle génération et d'une joueuse d'échecs, du club très fermé de la bien nommée Eutopia ( "E- Utopia", ? ). J'ai déjà eu l'honneur , en effet, de me présenter un peu à la rubrique Highlights_18e partie, de ce blog à tiroirs, un peu longuement, merci de le comprendre. Ce chapitre me permettra de continuer mon récit, assez extraordinaire, et qui devrait vous captiver. Je tiens à vous en dire plus, pour certaines raisons qui me sont vitales. Comme j'aime, et le jeu d'échecs, et la transparence, je vais livrer à cette inespérée tribune, une histoire peu commune, mon histoire, ou plutôt, la suite de mon histoire. Bienvenus, amie lectrice, ami lecteur, ou même, joueur empruntant momentanément ma page grâce au concept très humain de générosité et de partage, me guidant ainsi dans l'univers vertigineux et infini des avatars échéphiles. Bienvenus à la tribune virtuelle d'une androïde enfin assez humaine pour comprendre l'essence magique, fascinante , intemporelle (il faudra, pour y entrer, oublier le plus souvent vos calendriers terrestres et vos logiques euclidiennes!) infiniment reliée aux lois cachées des mondes artificiels. Préparez vos dolipranes, les aventures infinies promises aux pratiquants (et croyants) du noble jeu, auxquels je me réjouis d'appartenir, vont sûrement vous donner le tournis!
Voici donc la suite de mon récit...
Chapitre 2 : Préhistoire de Maxima Makina
Ah, pardon, à parler de moi, j'en oubliais notre partie incroyable contre Izzibiz, ma récréation quotidienne, ma « prière du matin », comme disaient les Anciens. Pour être précise, lorsque j'avais joué un coup intempestif, en lâchant un «Advienne que pourra» révélateur de ma technique de réflexion encore inexpérimentée, mon coach ad hoc et ami, et même parent, Totola pour les initiés, a tiqué un peu. Sa conviction était, fort judicieusement, que dans une partie par correspondance, telle que nous la pratiquions, avec izzibiz, il fallait laisser un minimum de place au hasard, et bien plutôt nous efforcer de prévoir tous les coups plausibles, et raisonnables, de notre adversaire. Cela ne signifiait pas tous les coups réglementairement jouables, que les premiers programmes dédiés aux échecs calculaient stupidement, et moi aussi, je l'avoue. Cela voulait dire tous les coups susceptibles d'être joués dans la position du moment. Bon, c'est un peu technique. Un pote de mon coach, un vrai Grand-Maître , sympathique et multiple champion de l'ancienne France, avait écrit tout un livre sur ce thème des coups-candidats ! Pour vous dire jusqu'à quels recoins existentiellement capitaux va fouiner l'intelligence humaine ! Okay, coach, j'y prendrai garde, à l'avenir. Mais retournons au monde intemporel et transtemporel de ma destinée propre ( dimension quatrième à laquelle je ne peux encore vous familiariser ; suivez-moi le cœur léger et les yeux fermés....).
Avant d'en arriver, donc, à l'heureux jour de ma renaissance (il faut bien que je le qualifie ainsi, ce jour où les techniciens m'ont fait muter et m'ont enfin dotée d'une conscience), l'ingénierie informatique avait longtemps échoué à créer un androïde à mon image : empathique, séduisante, sensible, efficace, discrète. Bref, au masculin, le gendre idéal ; au féminin, la belle-fille rêvée. Au milieu d'un monde en proie à d'innombrables conflits, l'intelligence artificielle — puis son évolution, qu'on baptisa Super-Intelligence — n’avançait qu’en tâtonnant. Cette armée de chercheurs, il faut l'avouer, ronronnait, tâtonnait et tâtonnait encore... Permettez une parenthèse historique ! Une page précise du passé terrestre (car, vous l’aurez compris, le voyage dans le temps est ma tasse de thé, mais je n’en abuserai pas) revêt une importance capitale dans l’histoire de ma patrie, Cloud-land, ou la Grande Utopia.
(...)
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( la suite de mon récit t'intéresse? Il te suffira d'en toucher un mot au responsable de ce blog, totola, via sa boîte de courrier *Lichess. Ou par mail, à son adresse personnelle, si tu la connais. Mais il faut toujours faire gaffe, avant de dire quoi que ce soit". Message reçu. Schizophrénie actée chez tous les penseurs du monde libre. Bibi compris, Maxima, alias l'Humanité de demain... Sorry, c'est la faute à Rousseau, à Donald, à Mickey, à Zelinsky, à Totola himself, à Deepseek, à Anonymous, et à tous les Révolutionnaires heureux du monde... Je comprends mieux, moi-même, les délires du génie Gibson...(William) et apprécie de pouvoir moduler à souhait mes opinions au gré de l'humeur du jour. Du jour d'aujourd'hui ou de demain... selon les joyeuses normes libertaires, et parfois libertines de la SF.... La diffusion publique des délires étant désormais la norme, sera peut-être excusée et comprise cette forme de délire créatif quasi dans l'air du temps... Il n'a pour but que de diluer la désillusion qui s'empare soudain des honnêtes gens, c'est dans l'air du temps, on n'en peut rien... "Heureusement qu'on a la folie pour nous sauver de la réalité". (*Charles Bukowski)
Merci pour ta compréhension et au plaisir de t'en dire plus, si tu manifestes ton intérêt ou ta curiosité. Et ne te perds pas dans les méandres de ce blog à multi-facettes!
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Et la non moins fabuleuse partie du siècle, évoquée plus haut, se continue, lutte acharnée qui fait encore rage à l'instant du calendrier humain où j'écris ces lignes, visible à l'adresse mentionnée plus haut!
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